PARIS rue Arafat
Oups !
Demain,
le 2 Mars, le Conseil Municipal de l'arrondissement du 12è à Paris a mis à
l'ordre du jour, la nomination de
Pour ces chers hommes de gauche donc forcément humanistes,
il devient urgent de rendre hommage au RAIS terroriste, voleur et criminel qui
aura donc niquer post mortem les cons-cons, culs-culs bêlant démocrates !
Arafat, dont
Avec la crise financière et tous les autres problèmes à
résoudre d'urgence, le Conseil Municipal du 12è trouve opportun de donner une
rue...juste à côté du minuscule square Izaac Rabin !
Quel manque de goût !
Yasser Arafat, né le 24 août 1929 dans la ville du Caire et décédé le 11 novembre 2004 à Clamart en France, de son vrai nom Mohamed Abdel Raouf Arafat al-Qudwa al-Husseini et connu aussi sous son kounya Abou Ammar, a été un activiste puis homme d’État palestinien.
Dirigeant du Fatah puis également de l’Organisation de libération de la Palestine, longtemps considéré comme un terroriste notamment par Israël en raison de son implication dans de nombreuses opérations qui ont coûté la vie à des civils et à des militaires israéliens, Yasser Arafat est resté pendant plusieurs décennies une figure controversée de l’expression par la violence des aspirations nationales palestiniennes avant d’apparaître pour Israël comme un partenaire de discussions dans le cadre du processus de paix israélo-palestinien dans les années 1990.
Yasser Arafat représente alors le peuple palestinien dans les différentes négociations de paix et signe les accords d’Oslo en 1993. Il devient le premier président de la nouvelle Autorité palestinienne et reçoit le prix Nobel de la Paix 1994 en compagnie de Shimon Peres et Yitzhak Rabin.
À partir de 2001, après l’échec du sommet de Taba et le déclenchement de la Seconde Intifada, il perd progressivement de son crédit auprès d’une partie de son peuple qui lui reproche la corruption de son autorité. Il se retrouve isolé sur la scène internationale tandis que les Israéliens élisent Ariel Sharon au poste de Premier ministre de l’État d’Israël, amenant un durcissement de la position israélienne vis-à-vis du dirigeant palestinien contraint à ne plus quitter Ramallah. Cet isolement n’est rompu qu’à la veille de sa mort, quand il est emmené d’urgence à Clamart en région parisienne où il décède en 2004.
In : Politique - Société